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186. (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62

Sénèque rend le même témoignage à Caton, et le loué de n’avoir pas voulu voir nues ces femmes débauchées ; et je n’ose vous rapporter les paroles de Lampridiusn, parce qu’elles sont trop peu honnêtes, quand il dit que l’Empereur Heliogabale, qui dans une Pièce représentait Vénus, se fit voir tout nu sur le Théâtre avec une impudence extrême. […] Les Lois des Empereurs y sont formelles ; et l’on en trouve non seulement contre les Clercs qui jouent, mais encore contre ceux qui les regardent jouer, ou qui s’intéressent dans leur jeu.

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