Ecclésiastiques bénéficiers de bas chœurs, chantres, etc., au nombre de 13.000, dont le revenu était porté à la plus basse cote, à 3.900.000 f., ci. […] Autres ecclésiastiques engagés dans les ordres, à raison de deux environ par paroisse, dont les uns étaient appliqués aux missions, d’autres à la direction des séminaires et des collèges, et les autres menant une vie privée chez eux, n’étant attachés à aucun bénéfice ni à aucunes fonctions particulières, ci. […] Six cent vingt-cinq abbayes d’hommes, en commende et de nomination royale, c’est-à-dire, affectées à des ecclésiastiques séculiers.