A Londres, un Drame intéresse en faisant haïr les Français ; à Tunis, la belle passion serait la piraterie ; à Messine, une vengeance bien savoureuse ; à Goa, l’honneur de brûler des Juifs. […] Je ne vois qu’un remède à tant d’inconvénients : c’est que, pour nous approprier les Drames de notre Théâtre, nous les composions nous-mêmes, et que nous ayons des Auteurs avant des Comédiens.