La plûpart de ces pieces sont les Contes de la Fontaine mis en drame. […] Un an auparavant le Journal de Trévoux, octobre 1767, & le même Mercure, avril 1767, avoient fait l’extrait & l’éloge d’une piece de ce recueil, le Galant escroc, conte de la Fontaine très-licencieux, mis en drame.