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320. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

« Les Auteurs concourent à l’envi, pour l’utilité publique, à donner une nouvelle énergie, et un nouveau coloris à cette passion dangereuse : et depuis Molière et Corneille, on ne voit plus réussir au théâtre que des Romans, sous le nom de pièces dramatiques. […] Rousseau que Britannicus, Alzire, Inès, et toutes les tragédies où règne l’amour, sont des romans, sans lui demander ce qu’il entend par des pièces dramatiques, si de tels romans n’en sont pas.

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