Convenons donc que ces larmes qu’on donne à la Tragédie, procédant de la source de l’amour naturel que nous avons les uns pour les autres, elles peuvent devenir très vicieuses par leur funeste application ; voilà le principe dans lequel je me suis renfermé pour montrer le danger de la Tragédie, et c’est sur ce principe que j’ai posé tous les fondements de ma Satirec.