Sur un faux avis, donné à dessein par Zaraès à la fin du second Acte, Amœnophis envoye en Arabie, une armée contre les rebelles. […] On lui en a donné un sans nécessité ; on n’a pas sçu l’en munir en ce cas pressant.
Sur un faux avis, donné à dessein par Zaraès à la fin du second Acte, Amœnophis envoye en Arabie, une armée contre les rebelles. […] On lui en a donné un sans nécessité ; on n’a pas sçu l’en munir en ce cas pressant.