« Cette pièce ne peut donc être trop censurée, et il est certain qu’on ne peut la jouer sans un très grand péché. » En effet, comme le remarquent les Docteurs de Sorbonne qui signèrent cette décision le 13 décembre 1676, c’est ordinairement du côté de l’impureté que l’on a condamné le théâtre, et c’est en effet son grand désordre. […] Un Docteur, nommé Prinn, scrupuleux à outrance, qui se serait cru damné, s’il avait porté une soutane au lieu d’un manteau court, selon l’usage des Presbytériens, s’avisa d’écrire un fort mauvais livre contre d’assez bonnes comédies qu’on représentait très innocemment devant le Roi. […] Ce Docteur était un très savant homme, qui a fait de fort bons ouvrages.