Après donc avoir proposé toutes les raisons qu’il a sues pour bannir la comédie du carême : « Je réponds à cela, dit-il, avec les propres paroles de Saint Thomas », et il cite un article de ce saint docteur sur les sentencesIn 4. dist. 16. q. 4. art.2 in corp. […] ad Mais d’abord, il est certain qu’il ne s’y agit point du carême dont il n’y a pas un mot dans tout cet endroit : mais quand on voudrait, comme il est juste, étendre au carême jusqu’à un certain degré, ce que propose ce saint docteur en général sur l’état des pénitents, il n’y aurait rien qui ne fût contraire à la prétention de notre auteur.