Dans un sentiment de mépris pour la faiblesse d’un Empereur et d’un Romain, qui balance comme le dernier des hommes entre sa maîtresse et son devoir ; qui, flottant incessamment dans une déshonorante incertitude, avilit par des plaintes efféminées ce caractère presque divin que lui donne l’histoire ; qui fait chercher dans un vil soupirant de ruelle le bienfaiteur du monde, et les délices du genre humain. […] Toutes les fausses Religions combattent la Nature ; la nôtre seule, qui la suit et la règle, annonce une institution divine et convenable à l’homme.