Le Journal de Trévoux, dans l’endroit même où il vante & admire avec le plus d’enthousiasme la scène de l’avare où le pere se trouve l’usurier de son fils, il avoue ingénument que cette scène, presque divine, est prise de la belle plaideuse, de Boisrobert. […] Les nôtres, il est vrai, ne sont pas si divines ; mais ce sont toujours des héros, des princes, qu’il faut aussi faire parler le plus noblement qu’on peut.