/ 304
88. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXX. Profanation du dimanche : étrange explication du précepte de la sanctification des fêtes. » pp. 109-116

Rechercher son plaisir et encore un plaisir d’une aussi grande dissipation que celui de la comédie, quand on aurait songé alors à de semblables divertissements, eût été une profanation manifeste du saint jour. […] ak , pour une des conditions des divertissements innocents, « que le temps en soit convenable » : pourquoi, si ce n’est pour nous faire entendre qu’il y en a qu’il faut exclure des saints jours, quand ils seraient permis d’ailleurs ?

/ 304