Et ainsi lorsqu’il y a quelque sujet de réjouissance publique, la considération que l’on doit avoir pour l’ordre de l’Eglise et l’obligation qu’ont ses enfants de s’appliquer aux choses de Dieu, ne permet point qu’on puisse légitimement faire choix de ces jours saints pour des divertissements humains et profanes. […] Nous avons le chant de l’Eglise, les Hymnes, et les Processions pour exprimer la véritable joie, que le saint Esprit inspire à nos cœurs ; et ce sont les seuls témoignages de joie que l’Eglise a reçus, et approuvés ; Au lieu qu’elle a traité les danses, lorsqu’elle en a parlé dans ses Canons, comme des divertissements indécents, et entièrement honteux. […] Et pourquoi ne serait-il pas permis aux personnes mêmes consacrées à Dieu, de danser, et à celles qui ne le sont pas de prendre ce divertissement dans un lieu saint, et de le faire autant de temps qu’il leur plaira ? […] Ce que le Maître des Sentences nous apprend encore, disant que les pénitents sont obligés de s’abstenir de tous ces divertissements mondains.