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269. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE III. Des Comédies de ce temps, si elles sont moins mauvaises et moins condamnables que celles du temps passé. » pp. 55-81

Je renonce à tous ces gens de bien, J’en aurai désormais une horreur effroyable, Et m’en vais devenir pour eux pis qu’un diable. » Le discours que Molière met dans la bouche de ce fourbe, n’est nullement selon les règles de la pudeur. […] Qu’enfermée au logis, en personne bien sage, Elle s’applique toute aux choses du ménage ; A recoudre mon linge aux heures de loisir ; Ou bien à tricoter quelque bas par plaisir, Qu’aux discours des muguets elle ferme l’oreille ; Et ne sorte jamais sans avoir qui la veille. » Que si les femmes ont pour mari quelque benet, qui les retienne et qui les veuille empêcher de voir les jeunes gens, sous prétexte que cela est scandaleux, elles n’ont qu’à écouter Angelique qui leur apprendra comme il les faut régenter.

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