Dans une autre scène, la folie recommence le même jeu (il est digne d’elle), & anime d’autres statues d’hommes & de femmes. […] Tout se termine par un cantique digne de la fête, de l’Auteur, des Acteurs, & certainement des Actrices : Chantons, célébrons la folie ; La gaieté vole sur ses pas, La volupté naît dans ses bras (image modeste), Et le plaisir lui doit la vie. […] S’il y avoit un simple artisan qui ne rougît pas de voir sa fille parmi les femmes de théatre, s’il aidoit au contraire à l’y placer, si sa conduite étoit vûe avec indifférence par ses égaux, cette révolution seroit digne de l’attention d’un État qui veilleroit à ses véritables intérêts.