Ces mauvais raisonnements, ces imprécations, ces blasphèmes, ces sarcasmes sur les Ministres, ce mépris des choses saintes, quels coups mortels à la religion d’une foule de spectateurs, ou déjà impies, ou du moins libertins, et par conséquent très disposés à le devenir, ou ignorants et trop faibles pour résister aux prestiges d’un sophisme, aux secousses du doute, aux assauts de l’erreur ! […] Ce mélange fait qu’elles deviennent odieuses par la sainteté du sujet, ou que la sainteté du sujet est méprisée par le goût de la coquetterie.