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405. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142

Ces mauvais raisonnements, ces imprécations, ces blasphèmes, ces sarcasmes sur les Ministres, ce mépris des choses saintes, quels coups mortels à la religion d’une foule de spectateurs, ou déjà impies, ou du moins libertins, et par conséquent très disposés à le devenir, ou ignorants et trop faibles pour résister aux prestiges d’un sophisme, aux secousses du doute, aux assauts de l’erreur ! […] Ce mélange fait qu’elles deviennent odieuses par la sainteté du sujet, ou que la sainteté du sujet est méprisée par le goût de la coquetterie.

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