En présence de Beauchâteau et de son épouse, elle raconta qu’elle appartenait à de très honnêtes gens ; mais que sa mère, devenue veuve, avait dissipé son bien et celui de ses enfants ; qu’alors elle fut obligée de demeurer avec un frère qui subsistait par le moyen d’un bénéfice. […] Depuis ce temps on n’a pu découvrir ce qu’il était devenu.