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128. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — SIXIEME PARTIE. — Comédies a corriger. » pp. 295-312

J’ai indiqué ailleurs14 les sources où Molière a puisé pour construire sa Pièce, et je n’ai pas craint d’avancer dans l’examen de la Comédie des Femmes Savantes, que ces sources étant infectées, il n’était pas étonnant que l’ouvrage de Molière s’en ressentit : l’entreprise de corriger la Comédie de l’Avare en est devenue bien plus difficile pour moi. […] Laurette Servante d’Ismène (qui est le personnage en question) est aussi de très mauvais exemple ; elle fait cent fourberies pour brouiller la fille de sa Maîtresse avec Acante son amant, à qui elle avait été promise, parce que Crémante père d’Acante, est devenu amoureux de la prétendue de son fils et veut l’épouser.

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