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201. (1675) Entretien sur les tragédies de ce temps pp. 1-152

Car on veut de la tendresse dans les Tragédies, et vous savez assez ce que l’on dit des dernières Pièces de Monsieur Corneille, que c’est faute de tendresse qu’elles n’ont pas tout le succès que mérite le grand génie de leur Auteuran. […] Les dernières Pièces de Monsieur Corneille ne sont pas indignes de lui ; elles ont des beautés qui sont particulières à ce grand Poète, et je crois qu’on y courrait encore comme au Cid, s’il ne représentait jamais d’Amantes.

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