/ 466
304. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre V. Infamie civile des Comédiens. » pp. 101-125

) Par la même raison une Actrice séduite (si quelqu’une pouvait l’être) n’aurait pas droit de se plaindre de son séducteur, de l’obliger à l’épouser, de demander des dommages et intérêts, pas plus qu’une femme trouvée dans un lieu public, pour laquelle la plainte d’adultère ou de séduction n’est pas reçue. […] Ce mariage fut absolument inconnu à sa famille, jusqu’à ce que quatre ans après la mort du mari, la veuve se déclara, et demanda la succession du père, que les collatéraux s’étaient partagée. […] « Vous demandez, dit-il, si ces personnes si bien parées, si exercées aux accents de la passion, n’abuseront jamais de leur art pour séduire la jeunesse.

/ 466