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8. (1664) Traité contre les danses et les comédies « Chapitre III. Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. » pp. 14-21

Que les Danses sont défendues aux Ecclésiastiques. […] Nous disons donc que les personnes Ecclésiastiques ne peuvent point licitement danser, et que les Danses leur sont entièrement défendues. […] Et la raison du Concile d’Agde n’a pas moins de force touchant les Danses secrètes qu’à l’égard des publiques, puisqu’il sera toujours vrai, que l’Ecclésiastique qui assiste à la Danse, expose sa vue, et ses oreilles, qui sont consacrées à Dieu par l’application au service de l’Autel, à la profanation, et au danger évident de salir sa pureté. […] Ces actions, ces gestes, et ces mouvements sont pourtant inséparables de la Danse, principalement, en la manière qu’elle se fait aujourd’hui. […] Et c’est pour cela que le Canon du Concile de Laodicée défend ces mêmes Exercices de la danse, et la Comédie à tous les Ecclésiastiques sans distinction ni restriction.

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