Les pieds ne paroissent pas devoir être une matiere bien dangereuse de tentation. […] C. a voulu expier par là les innombrables pechés dont les pieds sont l’instrument : ces danses voluptueuses, cet amour sensuel, cette vanité insensée de leur beauté & de leur parure, ces démarches criminelles, tous les péchés dans les lieux de débauche, dans les endroits suspects, vers les personnes dangereuses, au théatre, chez les actrices.