Cependant, Monsieur, un Laïc (que je crois véritablement laïc) a cru voir de l’ironie dans les louanges que j’ai données à M. l’Abbé Desmares, et même un danger réel dans la publication de ma lettre. […] Mais vous prétendez qu’un bal serait aussi dangereux aux Tuileries que dans tout autre lieu ; encore une fois, vous ne ferez croire à personne que dans le palais du Roi de France très-chrétien, les devoirs du catholique soient oubliés au point d’y permettre ce que la morale défend : on y donne chaque jour des exemples de piété, et pour prouver que le danger existe, il ne faudrait pas se borner à dire : il y a du danger.