Les Spectacles de notre siécle n’ont rien de commun avec ceux des Payens où le danger de l’idolâtrie étoit évident ; alors on sacrifioit aux Idoles, avant la représentation, on voyoit sur le Théâtre des combats de Gladiateurs. […] Le danger n’est pas moindre pour la pureté des mœurs, que pour la foi chrétienne ; en attendant la démonstration que je dois vous en faire, je suis, Mademoiselle, &c.