Il compare les dangers où l’on se met dans les comédies, à ceux qu’on ne peut éviter « qu’en fuyant, dit-il, Page 46. [« Lettre d’un théologien », page 46]. […] On ne peut, continue-t-il, faire un pas, lire un livre, entrer dans une Eglise, enfin vivre dans le monde, sans rencontrer mille choses capables d’exciter les passions. » Sans doute, la conséquence est fort bonne : tout est plein d’inévitables dangers ; donc il en faut augmenter le nombre.