Ce témoignage dit tout : un Prince du sang, qui connaissait si bien le monde et ses dangers, l’Etat et ses intérêts, la politique et ses maximes, la religion et ses lois, dont on ne peut ni suspecter les vues, ni soupçonner la vertu, ni méconnaître les lumières, ni révoquer en doute la prudence, à quel titre serait-il récusable ? […] 7.), condamne la comédie dans les Princes, comme dans les sujets, par le danger du vice qu’elle présente.