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13. (1646) Science du chrétien « Des comédies. » pp. 638-643

Je vous dis, mon ami, que le meilleur de ces comédies ne vaut rien, et quand bien je vous concéderais que le corps serait bon, il y a trop de danger d’y assister. […] Qui aime le danger, périra », dit le Sage. […] Il n’y a point de danger, dira un autre, il y a longtemps que je fréquente les comédies, et cependant je suis autant chaste qu’un autre.

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