Car puisque cette « volonté de Dieu », selon le même, « consiste 5 en notre sanctification », et en « ce que chacun de nous puisse posséder son vaisseau en sanctification et honneur » ; il ne serait question sinon de bien discerner ce qui tend à cette sanctification, d’avec ce qui la détruit : et alors, comme d’une part,6 « ils penseraient à toutes les choses qui sont véritables, à toutes les choses qui sont vénérables, à toutes les choses qui sont justes, à toutes les choses qui sont pures, à toutes les choses qui sont aimables, à toutes les choses qui sont de bonne renommée, s’il y a quelque vertu et quelque louange » : Aussi de l’autre part, s’abstiendraient-ils7 de « toute chose vilaine, de paroles folles, et plaisanteries, qui sont choses qui ne sont pas bienséantes ». […] Car cela ne se fait plus ès villes de Mayence et Marseille, pource qu’elles sont détruites et ruinées.