Le sommeil, le travail, les actions animales, les vicissitudes, les désirs de l’immortalité, le trepas de ses semblables, tout lui montre la faux tranchante qui moissonne tout ce qui respire ; les animaux qui périssent, la fleur qui se fane, la riviere qui coule, la campagne que l’hiver dépouille, les plus solides bâtimens que le temps détruit, les générations qui se succédent ; le torrent entraîne tout, les ombres de la mort enveloppent tout.