Je n’adopte pourtant pas dans toutes ses parties l’opinion du Philosophe de Genève, qui soutient que, « la transition de la parole au chant, & sur-tout du chant à la parole, à une dureté à laquelle l’oreille se prête difficilement, & forme un contraste choquant qui détruit toute l’illusion, & par conséquent l’intérêt » (66).