C’est en effet au théatre que nous devons ces profanations & cette stérilité, c’est lui qui nous forme ces gens frivoles & sans religion ; il détruit tout ce que nous tâchons d’édifier. […] Le feu le plus dévorant n’est pas celui qui consume les corps, c’est celui qui détruit l’innocence & la vertu de nos ames ; & par le malheur le plus déplorable, ceux qui en sont consumés ne le sentent pas. […] C’est bâtir d’une main, & détruire de l’autre.