Bourdelot, Avocat au Parlement de Paris, fit imprimer une lettre contre les désordres de la Comédie. […] Collier continue… Quel est l’homme raisonnable, qui puisse envisager, d’un œil tranquile, tant de désordres inouïs ? […] Et les libertins ne peuvent-ils pas renoncer à leurs désordres ? […] Dira-t-on que les Souverains pendant ce tems, veulent laisser une libre carriere au désordre, sous prétexte de dévotion ? […] Un Souverain peut tolérer un désordre, pour en éviter un plus grand ; mais malheur au particulier qui profite de cette tolérence !