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298. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

« P. 147, si l’on ne voit en tout ceci qu’une profession peu honnête, on doit voir encore une source de mauvaises mœurs dans le désordre des Actrices qui force & entraîne celui des Acteurs. » Je le dis encore, la Comédie était méprisable17 dans le sein de la maîtresse du monde, corrompue par les Farceurs ou Histrions ; ce qui la fit noter d’infâmie. […] puisque le désordre des Actrices entraîne nécessairement celui des Acteurs, & que dans tous les pays les deux sexes ont entre eux une liaison si naturelle que les mœurs de l’un décident de celles de l’autre.

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