Tout le monde sait ce qu’était la Comédie dans les derniers siècles ; une plume habile2 nous a exposé avec ordre, et la honte de sa naissance, et le progrès de ses désordres. […] « Comme la passion de l’amour est, dit-il, la plus forte impression que le péché ait faite sur nos âmes, ce qui paraît assez par les désordres horribles qu’elle produit dans le monde, il n’y a rien de plus dangereux que de l’exciter, de la nourrir, et de détruire ce qui la tient en bride, et qui en arrête le cours.