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225. (1694) Lettre d’un théologien « Lettre d'un théologien » pp. 1-62

Il faut donc qu’il se fut servi d’un des trois moyens dont nous venons de parler, et qu’il eut reconnu que ces sortes de Comédies faisaient une si grande impression sur ceux mêmes qui les lisaient, qu’elles causaient toujours en eux quelque désordre. […] en aucune manière ; à moins que ce ne fût une Histoire scandaleuse, impie, libertine, qui immanquablement remue les passions ; et pour lors ce n’est plus une occasion prise, elle est donnée ; de même que je n’aurais pas permis, avec les Saints Pères, d’assister aux Comédies de leur temps, parce qu’elles étaient si scandaleuses, qu’elles produisaient toujours de mauvais effets, et qu’on ne pouvait même s’en souvenir sans ressentir quelque désordre. […] Ce désordre donna lieu à un Décret « Interdum ludi fiunt, etc. »in 3.Decret cap. 12 cit.

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