Ce prétendu remede aux désordres ne peut servir qu’à peu de malades, n’en guerit aucun, & au contraire les multiplie, aigrit leurs maux & les rend incurables. […] Quels éloges ne mérite pas le religieux Prince qui arrête ces désordres, & en punit les auteurs ! […] C’est renouveller la fête des foux, toujours condamnée par l’Eglise, & enfin abolie, dont le théatre faisoit les plus grands désordres.