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171. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54

Rien n’était autrefois si édifiant que les assemblées des fidèles aux jours des Fêtes et des Dimanches ; rien n’était plus saint, ni plus terrible aux démons que les prières qui s’y faisaient, lesquelles étant soutenues par leurs bonnes œuvres, montaient jusqu’au Trône de Dieu, et en attiraient mille bénédictions.

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