Mais ni l’Evangile, dit-on, ni l’Ecriture sainte, ne défend nulle part la comédie, ni les autres spectacles profanes. […] Mais on se trompe de dire que l’Evangile, que l’Ecriture sainte ne défendent nulle part ces divertissements profanes. Ils ne les défendent pas en particulier quelque part, parce qu’ils les condamnent partout. […] On demande où c’est que l’Evangile défend ces profanes divertissements ?