; c’est pourquoi elle condamne les comédiens, et croit par là défendre assez la comédie : la décision en est précise dans les Rituels, la pratique en est constante : on prive des Sacrementsm et à la vie et à la mort ceux qui jouent la comédie s’ils ne renoncent à leur artRit. de Paris, p.108.114. […] n les défenseurs des spectacles « criaient que les renverser c’était détruire les lois » : mais ce Père sans s’en émouvoir disait au contraire, que l’esprit des lois était contraire aux théâtres : nous avons maintenant à leur opposer quelque chose de plus fort, puisqu’il y a tant de décrets publics contre la comédie que d’autres que moi ont rapportés : si la coutume l’emporte, si l’abus prévaut, ce qu’on en pourra conclure, c’est tout au plus que la comédie doit être rangée parmi les maux dont un célèbre historieno a dit qu’on les défend toujours, et qu’on les a toujours.