Il est vrai que les Parlements, & sur-tout celui de Paris, comme nous l’avons vu dans le second Livre, se sont souvent élevés contre le théatre ; ils l’ont défendu, ils ont puni les comédiens, ils ont réfusé d’enregistrer les Edits favorables ; ils ont chassé du Barreau un Avocat téméraire, qui s’étoit dégradé jusqu’à prendre la défense de la comédie, & à combattre les fletrissures dont l’Eglise & l’Etat ont justement chargé les comédiens.