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25. (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426

C’est qu’il y a des fidèles, et qui s’attribuent le nom de Chrétiens, lesquels n’ont point de honte de soutenir, et défendre par l’autorité des saintes écritures, les superstitions des Gentils, mêlées avec leurs spectacles et jeux publics, et avouent leur idolatrie. […] Car l’écriture pourvoit davantage à beaucoup de choses, quando elle commande : aussi quand elle se tait de quelque chose, pour garder modestie, c’est alors qu’elle la défend et prohibe davantage. […] Quand l’écriture saine défend l’idolatrie, elle défend quant et quants tout ce qui en dépend.Qu'est-ce donc que l’écriture a défendu ? […] Quand l’écriture saine défend l’idolatrie, elle défend quant et quants tout ce qui en dépend.

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