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282. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

Ce Poète a été généralement loué ; il évita les défaut d’Aristophane son Prédécesseur, qui attaquait ouvertement tout le monde avec une liberté qui allait à l’excès, celui-ci reprit les mœurs déréglées sous des noms empruntés. […] C’était le défaut de plusieurs qui composaient des Vers amoureux et des Satires piquantes, qu’ils appelaient des Sirventès, où les Princes n’étaient pas épargnés. […] Le Prévôt de Paris, son Lieutenant Criminel, et le Substitut du Procureur Général au Châtelet furent mandés à ce sujet, et chargés de faire publier à son de trompe le présent Arrêt dans la huitaine, « sur peine, dit l’Arrêt, de s’en prendre à eux, en cas de défaut ».

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