Regardons-les par le côté qui leur est le plus avantageux : nous trouverons que toutes leurs réformes aboutissent à des bagatelles, à de légers défauts d’humeur, à quelques petites incongruités contre l’exacte politesse. Alors même, de la façon qu’ils s’y prennent, la correction est bien pire que le défaut reproché : ils sifflent la pédanterie, et ils prônent en même temps l’Athéisme : ils nous ôtent pour ainsi dire, une petite éleveurebo et ils nous soufflent en même temps le poison.