Les luthériens pourroient le faire au défaut des catholiques. […] Voltaire convient des défauts de ses drames, quoique la plupart meilleurs que ceux de nos jours : mais cet aveu, qui lui a coûté, il ne le fait qu’aux dépens des amateurs.
Les luthériens pourroient le faire au défaut des catholiques. […] Voltaire convient des défauts de ses drames, quoique la plupart meilleurs que ceux de nos jours : mais cet aveu, qui lui a coûté, il ne le fait qu’aux dépens des amateurs.