Ils ne condamnent effectivement et ne rendent ridicules que certains défauts moins considerables, comme l’humeur difficile des vieillards, leur avarice, leur sévérité envers la jeunesse, leur facilité à se laisser tromper. […] Nous nous imaginons facilement que ceux qui remarqueront en nous ces mêmes défauts qui sont dans les grands hommes, jugeront que nous leur sommes semblables en tout le reste.