Cependant, à la honte de la Religion, des hommes qui en font profession, se déclarent pour des plaisirs si indignes d’un Chrétien : ils courent en foule les autoriser par leur présence ; & quand la vertu en gémit, quand les gens de bien s’en plaignent, quand les Ministres tonnent contre ces abus, tout l’effet de leur discours est de faire demander à la plûpart : Quel est donc le mal des spectacles ? […] Où en est votre vertu, femmes Chrétiennes, lorsque vous entendez une personne de votre sexe avouer sa foiblesse, & la déclarer même au séducteur qui l’a fait naître ?