Lamothe, qui a fait des tragédies en prose, d’ailleurs quoique bonnes, n’a pas réussi, non-plus que quelques-autres qui l’ont suivi. […] Cette contradiction est encore plus bizarre à l’opera, où l’on veut absolument des vers, & où la musique anéantit encore plus la mesuré & la rime, qui d’ailleurs, dans des petits vers & des vers libres le sont encore moins que dans les vers héroïques à rimes plates de quelques écrivains distingués, les endroits pathétiques, les sentimens vifs, les maximes, les endroits communs & de remplissage.