Ne croyez pas pour cela que je vous blâme de les laisser en repos. […] Et croyez-moi, ce sont peut-être les seules gens qui vous étaient favorables. […] Pensez-vous que l’on vous en croie sur votre parole ? Non, non, Monsieur, on n’est point accoutumé à vous croire si légèrement. […] Cependant on ne vous croit pas encore.