A qui croyez-vous qu’il s’adresse ? […] Moi, qui me croyais adorée, si le devoir n’était pour moi, je me verrais abandonnée. […] Mais, le croiriez-vous ?
A qui croyez-vous qu’il s’adresse ? […] Moi, qui me croyais adorée, si le devoir n’était pour moi, je me verrais abandonnée. […] Mais, le croiriez-vous ?