Quoi qu’il en soit, en troisième lieu, il ne faut pas croire que Saint Thomas ait été capable d’approuver les bouffonneries dans la bouche des chrétiens, puisque parmi les conditions sous lesquelles il permet les réjouissances, il exige entre autres choses, « que la gravité n’y soit pas entièrement relâchée : ne gravitas animae totaliter resolvatur »2. 2. q. 168. 2. c.